5 | 2008
Le rire des conteurs
Jusqu'ici concentrée soit sur Perrault, soit sur la parodie et la satire dans le conte du XVIIIe siècle, la problématique du comique dans le conte merveilleux exigeait d'être remise sur le métier : ce numéro 5 de Féeries y est consacré : la question qui le sous-tend est celle des rapports entre le merveilleux et le comique : proximités, échanges, tensions. Les huit études ici présentées par des spécialistes du genre aux XVIIe-XVIIIe siècles, travaillent le sujet à travers six moments : le conte des origines (Mmes d'Aulnoy et Perrault), Les mille et une nuits traduites par Galland, le conte persifleur et satirique du XVIIIe (d'Hamilton à Cahusac), le conte moral (Marmontel), les féeries du théâtre de Foire, le « nonsense » chez Walpole.
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Études
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Le sourire des fées [Texte intégral]Aux origines du merveilleux comique
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Du sourire à la morsure [Texte intégral]L’humour dans la traduction des Mille et une nuits par Antoine Galland
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Féerire à la foire [Texte intégral]
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Le Règne de l’équivoque [Texte intégral]À propos du régime satirico-parodique dans le conte merveilleux au xviiie siècle
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L’amusement dans Grigri de Cahusac [Texte intégral]
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Le rictus moral de Marmontel [Texte intégral]
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Comptes rendus critiques